Economie créative - Intégration des filières créatives sur le territoire de Bordeaux Euratlantique
Comment intégrer les filières créatives dans l’économie bordelaise ? Quel type d'espace imaginer pour les accueillir ?
La "classe créative" est constituée par des individus créant de la plus-value grâce à leur créativité, selon des procédés non routinisés et avec des outputs non codifiés. Soucieux de faire venir les groupes sociaux tenus pour garant d'une "économie créative" génératrice de croissance, les pouvoirs urbains se focalisent sur l’attrait par le cadre de vie. Cela passe souvent par un décloisonnement des filières économiques pour amorcer l’alchimie entre travailleurs, comme dans les cas qui sont ici étudiés.
Partant d’un benchmark de quartiers créatifs à l’échelle nationale et d'un exploration de la notion de "fablab", ce travail a porté sur l'analyse du substrat créatif existant dans la région bordelaise en vue de penser la place de deux projets : la Cité Numérique en cours d'implantation dans l'ancien centre de tri Jean-Jacques Bosc à Bègles, et un éventuel centre dédié au prototypage ouvert (type fablab) et à l’artisanat d’art dans l'ancien centre de tri Armagnac à Bordeaux.
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Commanditaire : EPA Bordeaux Euratlantique
Etudiant.es : Maxime Alfonso, Thibaut Aubert, Marie Cambourieu (ensapBx) ; Valentin Guillon, Antoine Héraud, Iban Mediavilla, Henri Pontette (Sciences Po Bordeaux)
Tuteur : Mathieu Immer, fondateur de l'agence Territoires parallèles